Lettre ouverte
Droit de réponse de
Marie -Agnès PORTAL à « l’étrange » Monsieur
DEUN de Nice
Sait-on seulement posé
les bonnes questions ? Quel regard a Marie-Agnès sur ce passé ?
40 ans après n’est-il pas possible de lui demander son avis ?
Quels souvenirs a-t-elle de cette époque ? Pourquoi raviver une
plaie ?
Monsieur Emmanuel DEUN
puise dans mon passé, dans mes archives personnelles que j’avais
cru bon lui confier et qu’il a conservé durant un an pour les
étudier à loisir et même vraisemblablement les photocopier pour
s’en resservir dans son ouvrage.
S’il nie s’en être
servi, ce Monsieur à la mémoire courte car dans son livre pour ne
citer qu’une page parmi d’autres, il publie l’intégralité
d’un courrier qui m’était adressé personnellement le 2
septembre 1984 à la page 115 commençant par « Chère
Mademoiselle… » . Comment aurait-il pu en prendre
connaissance, sinon dans mes archives qu’il avait eu en sa
possession ? Comment peut-il écrire sur ce qui s’est passé à
l’hôpital, décrire la chambre et me faire parler indirectement si
ce n’est qu’en se servant de mes mémoires ?
D’autant plus choquant,
c’est que l’on découvre qu’il a eu accès à des documents de
la Gendarmerie, et qu’il s’est permis d’utiliser en particulier
une photo dont la moralité 40 ans après est indiffusable
puisqu’elle heurte et fend mon cœur en assassinant mon frère une
deuxième fois.
Tout n’est pas permis
Monsieur DEUN !
Je me donne le droit de
réserve de continuer à relever tous les passages qui me concernent
et qui m’ont été indument spoliés et rétablir la vérité qu’il
a voulu masquer comme par exemple p 34 où il supprime le nom de
maître CAMBRIEL dans un article paru dans la presse « Valeurs
actuelles », pourquoi ?
Et bien d'autres rectifications suivront !
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