la fumade

mardi 14 juin 2016

Lettre Ouverte partie 1

Lettre ouverte
Droit de réponse de Marie -Agnès PORTAL à « l’étrange » Monsieur DEUN de Nice
Sait-on seulement posé les bonnes questions ? Quel regard a Marie-Agnès sur ce passé ? 40 ans après n’est-il pas possible de lui demander son avis ? Quels souvenirs a-t-elle de cette époque ? Pourquoi raviver une plaie ?
Monsieur Emmanuel DEUN puise dans mon passé, dans mes archives personnelles que j’avais cru bon lui confier et qu’il a conservé durant un an pour les étudier à loisir et même vraisemblablement les photocopier pour s’en resservir dans son ouvrage.
S’il nie s’en être servi, ce Monsieur à la mémoire courte car dans son livre pour ne citer qu’une page parmi d’autres, il publie l’intégralité d’un courrier qui m’était adressé personnellement le 2 septembre 1984 à la page 115 commençant par « Chère Mademoiselle… » . Comment aurait-il pu en prendre connaissance, sinon dans mes archives qu’il avait eu en sa possession ? Comment peut-il écrire sur ce qui s’est passé à l’hôpital, décrire la chambre et me faire parler indirectement si ce n’est qu’en se servant de mes mémoires ?
D’autant plus choquant, c’est que l’on découvre qu’il a eu accès à des documents de la Gendarmerie, et qu’il s’est permis d’utiliser en particulier une photo dont la moralité 40 ans après est indiffusable puisqu’elle heurte et fend mon cœur en assassinant mon frère une deuxième fois.
Tout n’est pas permis Monsieur DEUN !
Je me donne le droit de réserve de continuer à relever tous les passages qui me concernent et qui m’ont été indument spoliés et rétablir la vérité qu’il a voulu masquer comme par exemple p 34 où il supprime le nom de maître CAMBRIEL dans un article paru dans la presse « Valeurs actuelles », pourquoi ?

Et bien d'autres rectifications suivront !



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