la fumade

mercredi 13 juillet 2016

Deuxième épisode, la saga de l’été 2016 !

Lettre ouverte de Marie-Agnès PORTAL à « l’étrange » Monsieur DEUN de Nice
Deuxième épisode, la saga de l’été 2016 !
Page 62 « lorsqu’un don ou un soutien vient d’un pays étranger, les PORTAL achètent un drapeau du pays en question. »
Où, en 1973 – 1974 et 1975 achète-t-on des drapeaux de pays étrangers à MONTAUBAN ? Belges, Allemands, Roumains, Américains ? Dans quel magasin ? Alors qu’il était difficile de sortir de La Fumade assiégée par les forces de l’ordre. Nous ne sortions que pour une urgence et même nous étions filtrés. Vu nos nombreux correspondants internationaux, nous nous sommes prêtés au petit jeu de la collection des drapeaux qu’ils nous envoyaient, et c’est ainsi que la façade de la maison s’est retrouvé égayée de multiples couleurs. Nous n’avons pas pu, en retour, leur envoyer le drapeau français introuvable à l’époque dans une boutique montalbanaise. Du reste, il était rare, sinon impossible de trouver un drapeau français à la vente, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui depuis les attentats, la raison patriotique ayant pris le dessus. Les drapeaux étaient réservés aux administrations - Mairie, Préfecture, Gendarmerie…- et sortis pour les grandes occasions comme la fête nationale du 14 juillet ou en berne pour la mort du président POMPIDOU.
Page 109 « Anna, dont personne n’est capable de retracer une biographie à peu près claire !....A- t-elle connu les camps, comme elle le dit, et si oui, pour quel motif ? Cette femme, derrière son indéfectible sourire…..reste une inconnue. »
Anna, c’est Anne-Marie dans tous les papiers administratifs, d’origine polonaise, catholique et instruite. Où est-il allé chercher qu’elle avait fait les camps ? D’où sort-il cette aberration ? Et quant à savoir si elle avait des frères ou des sœurs, et que faisaient ses parents ? Il ne m’a pas posée la moindre question à ce sujet et j’aurais eu de quoi lui répondre. 
Page 122 « Rappelons surtout qu’il y a une survivante à l’affaire PORTAL. Elle s’appelle Marie-Agnès et a le droit de ne voir ni sa biographie ni la mémoire de sa famille disséquée par quiconque. L’éthique autant que la prudence nous invitent ainsi à nous limiter à énoncer des hypothèses. »
Ah bon, après avoir fouillé dans tous mes papiers personnels, compulsé de nombreux articles et même les archives d’un ancien colonel de gendarmerie décédé, Monsieur DEUN pense qu’il n’a énoncé que des hypothèses ? Qu’il a respecté ma mémoire familiale ? Mais il n’a rien résolu du tout et il m’a porté tort.

A bientôt pour un nouveau droit de réponse !

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