la fumade

jeudi 11 août 2016

Sixième épisode, la saga de l’été 2016 !

Lettre ouverte de Marie-Agnès PORTAL à « l’étrange » Monsieur DEUN de Nice

J’avais fait remarquer la semaine dernière que Mr Deun utilisait des photos pour agrémenter ses propos qui manquaient de références. Pour n’en prendre qu’une, celle avec les fourgons de gendarmerie au premier plan ,page 57, elle fait partie d’un lot de clichés en ma possession et qui porte au dos PM 246 – 1973, copyright APIS Réf.303139, 122 rue de Reaumur - Paris 2 ( France Soir) et pas « collection personnelle » ou alors la mienne.
Mr Deun a aussi une manière bien à lui d’interpréter les photos. Ainsi, à partir d’une photo de famille, prise dans la cour de La Fumade, à la fin d’un repas, où l’on aperçoit au second plan le mur et une porte donnant sur un cabinet d’aisance réservé pour le personnel venant travailler à la ferme, il en fait notre cabinet d’usage comme si nous n’avions pas de toilettes dans la maison. Sachez que la modernité était passée depuis longtemps chez nous et que nous avions une fosse sceptique pour les eaux usées.
Mr Deun se sert également de l’inventaire des meubles et objets mobiliers dressé par le notaire, Me Père et daté du 3 juin 1919 (juste après la Grande guerre) pour présenter l’intérieur de notre maison, voir page 20 et 21. Inventaire qui est en ma possession et il a le toupet de m’écrire : « mon texte n’exploite aucun élément fourni par vous et aucune des informations personnelles… ».  55 ans après et une guerre en plus, le mobilier a bien évolué et ne parlons pas de la voiture américaine à capote qui a fait son temps et que nous n’avons jamais connue. Nous roulions en Citroën C4F et plus exactement en 2 CV par la suite, bien plus pratique pour circuler.
Enfin, si Mr Deun l’évoque bien vaguement, il faut bien penser que mon frère et moi sommes nés et avons vécu toute notre jeunesse, soit vingt années, au milieu des procédures judiciaires, auxquels nos parents devaient faire face. Et le pire de tout, l’affaire était animée par le soit- disant ami de la famille, à savoir le notaire Me Bienassis de Caulusson, inculpé d’abus de blanc-seing qui prendra la fuite, trouvant refuge en Espagne, mais qui n’a jamais essayé de nous aider par la suite dans la curée où se sont livrés ses confrères et amis. Nous avons été victimes de notaires véreux, véritables tabellions malhonnêtes.

«  Les notaires sont des très grands bandits même le gouvernement ne peut rien faire contre eux » comme le constatait Jean Louis, lors d’une interview en 1973 rapporté par Hervé Chabalier dans le Nouvel Observateur page 61 (referentiel.nouvelobs.com). Du reste, il existe diverses associations sur les victimes de notaire aujourd’hui, alors qu’à notre époque cela ne se trouvait pas. Il s’est bien gardé de développer les escroqueries notariales. Mr Deun croit détenir la vérité, laquelle ? Il n’argumente pas sur la collusion entre notaires et magistrats dont nous avons été honteusement victimes. C’était cela qui importait le plus.
40 ans après malgrés diverses associations sur les victimes des notaires.
Certains restent intouchables, voir sur internet : "Notaire en coma" et "asso défense contre l'abus des notaires"
Ces notaires ont toujours des rélations haut placées.

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